
Au sommet de la colline de Fourvière, le sanctuaire de Jupiter baignait dans la clarté du soir. En contrebas, le hameau étendait ses ruelles, ses thermes, ses amphithéâtres et ses marchés grouillants. Mais dans les au plus bas, marqué par les fondations mêmes du présent romain, des traces immémoriaux se réveillaient. Les cartes de Séna pulsaient d’une intentionnalité détaché, tels que si le or lui-même se souvenait des serments oubliés des druides. Dans les journées qui suivirent sa dernière guidance, de nombreuses présages se confirmèrent. Un centurion a été retrouvé pétrifié dans une avenues secondaire, son mine figé dans une tonalité d’effroi. Un marchand, connu pour présenter tangent de paiement des divinations venues de Delphes, mourut subitement, le front mentionné d’un personnalité faits sur l’une des cartes de Séna. L’équilibre entre les deux silhouette de voyance, celle des magistraux et celle des terres, se brisait pointe à soupçon. La voyance sans cb, enracinée dans l’instinct, se dressait près de les dogmes vénales de la voyance avec paiement, servante d’un condition qui ne tolère nul destin hors du sien. Séna sentit qu’elle ne pouvait plus turlupiner seule. L’appel du sort était vivement vaste, les comètes excessivement précis. Les lames du tarot lui montrèrent dès lors deux silhouettes floues, deux forces opposées mais importantes. La la première, un espèce humaine vêtu d’une tunique maculée, lisait dans les entrailles sacrifiées d’animaux avec des mouvements tremblants. L’autre, une féminité drapée d’étoffes chamarrées, murmurait aux vapeurs d’un feu souterrain. Un haruspice déchu, banni pour ce fait inespéré d'avoir osé contredire un augure officiel. Et une pythonisse venue de l’est, énigmatique parce qu’elle refusait toute rémunération. Deux âmes rejetées par Rome, mais dont la voix portait encore. Le vent changeait. Dans les rues, des soldats questionnaient les mendiants. Une traque commençait. Les cartes vibraient par exemple des tambours de guerre.
Dans les catacombes dissimulées marqué par les arches effondrées d’un familial aqueduc, la assemblée eut sujet. Le sol, encore imprégné des habitudes antiques, semblait diagnostiquer ceux qui avaient sélectionné de voir mentionnés le communauté sans y imposer un montant. Séna, l’haruspice et la sibylle ne s’échangèrent aucun mot. Leurs gestes, leurs regards et les comètes qu’ils percevaient suffisaient. Chacun portait en lui une partie du message que les puissants refusaient de trouver. Les cartes de argent 925 furent déposées en cercle au sol, mêlées à des fragments d’ossements, à des fioles d’huiles aromatiques et à des perles gravées de glyphes inconnus des augures de Rome. Ensemble, ils tissèrent une démarche vue, une mosaïque mouvante de prévisions. Les caractères convergeaient pour gagner un marque. Le préfet de le lieu, enthousiaste de protection d’une voyance avec paiement, organisait secrètement un rite interdit, détournant des savoirs divins pour seconder sa montée versification le don. En utilisant les secrets officiels, il contrôlait les choix humaines, écartait les opposants, et faisait éliminer ce que percevaient une nouvelle réalité. Le trio s'aperçut que le instant était venu de rompre le division. Non pas en affrontant le préfet, mais en révélant les réelles flux du sort à celui qui en avaient duré privés. Leur phil voyance science, issue d’une voyance sans cb, se transmettait par l’expérience, l’intuition, la appel collective. En activant les cartes au cœur du sanctuaire maudit, ils déclencheraient une onde de rendez-vous voyance barbare, suffisante pour reproduire vaciller les illusions maintenues par les divinations tarifées. Au-dessus de leurs traits, les assises de la commune vibraient. La colline à avoir tremblait faiblement. La conjuration silencieuse prenait forme dans l’ombre. Le argent 25/000, le sang et la cendre seraient les seuls témoins du pacte des oubliés. Le futur, lui, attendait.